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L'émigration n'est pas un abri
                                                                             Ensemble, prenons notre destinée en main...

 

[En construction]

 

L'émigration n'est pas un abri

Objectifs

Reportage

Ours

Adhérer

Réactions

 

     Braves, les dignes représentants des pays en voie de développement en France ont accepte le sacrifice. Ils ont quitté parents, amis et héritages fonciers dans les années 60 à la quête d’une situation financière et matérielle meilleure.

     Si jusqu’aux années 80, cette émigration a donné satisfaction comme l’on peut le constater à travers des constructions, des infrastructures et autres financements dans leur pays d’origine, la nouvelle génération d’émigrants quant à elle, est confrontée à des difficultés énormes qui ont pour noms : clandestinité, chômage, etc.…

 

     Victimes des apparences qu’affichent certains des leurs une fois en vacances au bercail (à cette occasion, les venants de France sont drapés de beaux basins ou costumes répondant à tous les rendez-vous de la bombance), les jeunes et les adultes insuffisamment informés de la vie de ces fêtards tentent par tous les moyens d’émigrer.

     Ainsi, une nouvelle ère d’errements commence pour ces nouveaux candidats à l’émigration qui ne rencontreront que difficultés et misère.

     Les plus chanceux deviendront ouvriers, les autres n’auront jamais de papiers et ne travailleront jamais. Ces émigrés qui sont pour la plupart des ouvriers de bâtiment travaillant dans le froid à ciel ouvert, des plongeurs ou serveurs dans des restaurants ou encore chargés de sécurité avec tous les risques que cela comporte dépassent rarement un revenu mensuel de 7000 francs.

     Devant la cherté du coût de la vie, ils vivent dans la promiscuité du fait du nombre élevé des membres de la famille. A cette situation s’ajoutent les charges de la famille restée en Afrique.

     Nos braves émigrés qui bossent comme des esclaves, éreintés par la chaîne ne pensent qu’à se reposer au sortir du travail, d’où une éducation des enfants peu suivie.

 

 

     Certaines femmes fidèles au vieux dicton qui dit : « elle fila du coton et resta au foyer » s’occupaient alors des tâches ménagères et se contentaient de partager les maigres revenus du chef de famille. Mais la crise aidant, elles ont récemment envahi le marché de l’emploi, occupant des postes d’agents de surface pour ne pas dire balayeuses.

     Ainsi, les enfants sont de plus en plus laissés à eux-mêmes. Cette situation n’est pas sans heurts. Aujourd’hui de nombreux jeunes ont fait la prison avant même d’atteindre la classe de terminale. Cela est la conséquence de l’école buissonnière dont ils sont adeptes.

     La majorité d’entre eux finissent par abandonner l’école préférant grelotter de froid devant les résidences ou se cacher dans des caves pour flirter avec la drogue avant d’en devenir de véritables dealers.

     Les jeunes filles tenaillées entre les traditions africaines (soumission et respect des consignes des parents, etc.…) et le modernisme qui les poussent à réclamer trop de liberté, sont souvent victimes de confrontations avec leurs parents.

 

 

 

 

     Afin de combattre ce fléau qui a vidé le continent africain de ses espoirs, nous invitons toutes et tous à se joindre à nous pour une Afrique qui pourra compter sur ses fils, une Afrique de succès parce que menant des politiques de développement endogène.

 

 

 

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Dernière modification : 18 août 2001