Meurthe et Moselle

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La place Stanisla à Nancy (cliquer sur l'image pour l'agrandir) :

1 . Bouxières-aux-Dames : pelouse des Dames
Dominant d'environ 110 m. la vallée de la Meurthe, l'ancien promenoir des chanoinesses de Bouxières a conservé son tracé en étoile. Les huit branches plantées de tilleuls en 1750 restent clairement lisibles malgré de nombreux manques. Accès libre et gratuit.

2 . Chaligny : jardin du Réal (11, rue du Réal)
Ce petit jardin (20 ares) comprend près de 200 arbustes plantés à partir de 1992.Il intéressera particulièrement les amateurs d'érables qui pourront observer 54 variétés appartenant à 14 espèces différentes. Il est possible d'acquérir certains sujets. Ouv. sur R.D.V. préalable au 03.83.47.39.07.

3 . Champenoux : arborétum d'Amance
Sur près de 9 hectares, 405 espèces forestières appartenant à 88 genres (66 feuillus et 22 résineux) illustrent la flore lorraine et proposent un choix d'essences acclimatables. Ouv. du lun. au ven. de 8 h 30 à 17 h ou sur demande au 03.83.31.63.76. Gratuit.

4 . Champigneulles : parc municipal
Tracé vers 1710 pour le comte de Fontenoy, grand-maître d'hôtel du duc Léopold, ce parc avait été planté de charmilles provenant de la forêt de Haye. A l'exception d'un canal et de quelques allées, le XIXe s. modifia cinsidérablement la composition initiale, tout en privilégiant lui aussi la présence du ruisseau de Bellefontaine qui alimente étangs et cascades. Ouv T.l.j. Gratuit

5. Eulmont : jardin de la Franche-Moitresse
Structuré par des chambres

6 . Fléville-devant-Nancy : parc du château
Le parc romantique qui s'étend à l'arrière du château a été aménagé au milieu du XIXe s. d'après les plans de Paul de Lavenne de Choulot. Il laisse deviner ce que put être au même emplacement le jardin à la française dessiné par Gervais.Un fer à cheval fermait, au nord, le grand parterre que ceinturaient un canal et des allées de tilleuls. Quelques constructions et aménagements du XVIIIe s. subsistent à l'est du château : maison de l'Oiseleur, orangerie, potager. Ouv. les sam. et dim. de 14 h à 19 h. Payant.

7 . Gerbéviller : parc du château de Lambertye
Parcouru dans toute sa longueur par la Mortagne, le parc créé au XIXe s. est le type même des jardins agrandis à l'échelle du paysage.Il intègre un rare nymphée et le "Pavillon Rouge" dessinés probablement par Clément II Métezeau. Récemment redessiné à la place de l'ancienne serre tropicale, un jardin dédié à Charles-Ernest de Lambertye évoque les passions horticoles de l'Art Nouveau. Ouv. de Pâques à la Toussaint les sam. et dim. de 14 h à 18 h et sur demande en semaine pour les groupes au 03.83.42.71.57. Payant.

8 . Giraumont : parc du château de Tichémont
L'un des plus vastes jardins en terrasses de Lorraine conserve encore ses soutènements d'origine (1702), reliés par quatre escaliers monumentaux.Parc multiple, il recèle également un potager en creux, une orangerie construite en 1824 et une composition paysagère bordée de belles essences.Ouv.le dim. 25 juin, visite ornithologique guidée par Dominique Landragin à 16 h. Gratuit.

9 . Goviller : jardin de l'Espace T.E.M. (55, Grande-Rue)
Tout en servant de cadre à des présentations de sculptures contemporaines, ce jardin de village garde son potager, ses fruitiers et ses bouquets de vivaces.Ouv. du 17 juin au 30sept. les dim. de 14 h à 19 h.Gratuit.Visite guidée sur demande au 03.83.52.88.33.

10 . Haroué : parc et jardins du château
"Palais aux champs" a-t-on pu écrire du chef-d'œuvre de Boffrand. Nulle frontière visuelle ne sépare ce parc de pierres et d'arbres, dont la noblesse résonne à l'unisson de l'architecture et du calme dessin de la vallée du Madon.Aux bosquets de hauts arbres répondent groupes d'angelots, charmilles et buis.Le long des communs, un jardin anglais offre le camaïeu de ses bordures de fleurs.Ouv. T.l.j. de 14 h à 18 h.

11 . Jarny : parc du château de Moncel
Précédé par un petit jardin régulier, le château domine un vaste parc à l'anglaise agrémenté de plusieurs étangs. Le potager a conservé ses bordures de buis et une serre en dos d'âne. Ouv. T.l.j. de 8 h à 19 h. Gratuit.

12 a. Laneuveville-devant-Nancy : parc du château de Montaigu
Une partie des statues, des amours et des vases qui ornait le parc voisin de la Malgrange entoure aujourd'hui cette demeure de campagne du XVIIIe s. La chapelle Notre-Dame-de-Montaigu rappelle les nombreux ermitages qui virent le jour autour de Nancy au début du XVIIe s. Réouverture du parc prévue pour le 1er juillet. T.l.j. de 8 h à 20 h. Gratuit.

12 b . Jardin de l'hôtel de Bouzey (7, rue Jeannequin)
Dessiné pour la maison de plaisance d'un riche ecclésiastique, ce jardin s'étage sur trois terrasses d'où la vue porte sur la vallée de la Meurthe jusqu'à la Chartreuse de Bosserville. Si l'ornementation végétale a été très altérée au XIXe s., en revanche le décor architectural témoigne toujours d'une conception marquée par le style Louis XV rocaille.Ouv.le sam. 20 mai à 14 h. Visite guidée. Gratuit.

13 Lay-Saint-Christophe : jardin d'Adoué (4, chemin du Rupt-d'Adoué)
Monique Chevry, collectionneuse et pépiniériste, présente un petit jardin en cours de création où les plantes sont peu communes, mais non pas pour autant difficiles à cultiver.Elles proposent une riche palette de floraisons et de feuillages invitant à de subtils mariages. Ouvert sur rendez-vous en raison de la petitesse des lieux au 03.83.22.68.12. Pépinière ouverte de 14 h à 18 h les lun., mar., ven. et sam.

14 . Leménil-Mitry : parc du château de Mitry
Ce château du XVIIIe siècle domine un vaste parc paysager ouvert sur des étangs. Non loin de la demeure, un bosquet abrite un original labyrinthe de lilas. Ouv. dim. 14 mai.Visite guidée à 15 h et 17 h.

15 . Liverdun : parc de la Garenne (domaine des Eaux-Bleues)
L'ancienne villégiature de la famille Corbin est entourée d'un vaste parc boisé qui domine une courbe de la Moselle. éclectique, la composition associe des éléments pittoresques (château d'eau camouflé en fausse grotte, rivière anglaise) à des dispositions régulières (bassin, fontaine et portique). L'aristoloche et la glycine qui s'enchevêtrent dans les volutes métalliques de la longue marquise appartiennent, quant à elles, pleinement à l'Art Nouveau. Ouv.les après-midi en semaine de 14 h à 17 h.Gratuit. Portes ouvertes les 6 et 7 mai de 10 h à 19h.

16 a . Lunéville : les Bosquets
Léopold, puis Stanislas, créèrent à l'est du château de vastes et somptueux jardins ornés d'une importante statuaire et de constructions originales. Effaçant les saccages successifs, la restauration partielle qui a été opérée perpétue en Lorraine la grande tradition du jardin à la française, dont les parterres de gazon, de fleurs, de buis, de graviers et d'eau forment les dispositions essentielles.Ouv.T.l.j. Gratuit.

16 b . Parc du château Saint-Léopold
Cette ancienne résidence d'agrément du duc Léopold se situe dans l'axe du château et des jardins de Lunéville ; elle conserve un canal ombragé de grands arbres et fermé à une de ses extrémités par un petitnymphée.Ouv.sam. 24 et dim. 25 juin de 14 h à 19 h. Présentation de buis et de mobilier de jardin. Gratuit.

17 . Malzéville : jardin de la Cure-d'Air-Trianon (77, rue Pasteur)
A la fin du XIXe siècle, plusieurs lieux d'amusement s'installent sur les hauteurs dominant Nancy pour offrir à leurs clients un air plus pur et des réjouissances bucoliques. De cette époque la Cure-d'Air-Trianon a conservé un élégant édifice en métal et verre, entouré d'un jardin qui sera agrandi à partir de 1909. Ouv. dim. 21 juin. Visite guidée à 15 h. Démonstration d'élagage raisonné.

18 a . Nancy : jardin Alexandre-Godron (rue Ste-Catherine)
Le premier jardin botanique de Nancy a été fondé en 1758 en relation avec la création de l'école de médecine. En partie amputées des bâtiments récents, les collections conservent encore un micocoulier de Provence, un arbre aux quarante écus pleureur, un copalme d'Orient ... Ouv.Tl.j. Gratuit

18 b. Parc du musée de l'Ecole de Nancy
Récemment restauré, le parc du musée est la seule partie subsistante du terrain de cinq hectares qu'Eugène Corbin fit aménager dans les années 1909-1912 pour accompagner sa demeure. Le jardin est alors le souci majeur d'une propriété de bourgeoise, exprimant le plaisir de vivre. L'aquarium, rare oeuvre de l'architecte Weissemburger, se situe dans la lignée des fabriques du XIXe s. Ouv. T.l.j. sauf lundi et mardi, de 10 h 30 à 18 h. Gratuit.

18 c. Roseraie de la Pépinière
Créée par stanislas, duc de Lorraine, la Pépinière était à l'origine destinée à fournir aux Nancéins de jeunes plants pour agrémenter leurs propriétés. Les carrés ont été progressivement amnagés de manière hétéroclite aux XIXe et XXe s. Plantée en 1927, la Roseraie a conservé son charme "entre deux guerres". Ouv. T.l.j. Gratuit

18 d . Parc Sainte-Marie
Le nom du parc vient des ermitages consacrés à la Vierge au XVIIe s., loin des murs de la ville. La commune acheta ce domaine en 1904 pour en faire un jardin public susceptible d’établir un contrepoint à la Pépinière pour ce quartier nouvellement urbanisé. En 1909 s’y tint l’Exposition Internationale de l’Est de la France, dont la Maison Alsacienne reste un témoin pittoresque. Ouv. T.l.j. Gratuit.

18 e . Jardin de la Tortue (14, rue des Bégonias)
Implanté vers 1903 sur l’emplacement des pépinières Crousse, ce jardin de ville a patiemment été restauré en respectant son esprit Art Nouveau. Il conserve un ensemble de bassins reliés par une fausse rivière qu’ombragaient avant la tempête les ramures mélées d’un cèdre et d’un hêtre pourpre. Vivaces et bulbeuses s’inspirent des espèces prisées au début du siècle. Ouv. du 20 mai au 9 juin sur R.D.V. préalable au 03.83.28.13.80.

19 . Pont-à-Mousson : jardin de l’abbaye des Prémontrés
Le jardin du cloître replié sur lui-même entre les hautes façades contraste avec les jardins de la grande terrasse ouverts sur la Moselle étale. Ouv. T.l.j. de 9 h à 19 h. Payant.

20 . Thorey-Lyautey : parc du château
Le parc anglais, qui offre une vue sur la campagne environnante, a été tracé pour le maréchal Lyautey au début de ce siècle. Près de la pièce d’eau, on remarque un groupe de pins formant une rose des vents et la colonnade du mausolée de Rabat. Ouv. T.l.j. de 14 à 18 h, sauf le mardi.

21 . Vandœuvre-lès-Nancy : parc du Charmois
Situé en cœur de ville, ce parc public conserve en partie les caractéristiques des grands parcs bourgeois qui environnaient Nancy à la fin du XIXe s. Un beau hêtre pleureur rappelle le goût de l’époque pour les essences pittoresques. Ouv. T.l.j. Gratuit.

1 b . Parc de Marbeaumont
Créé en 19O5 pour le banquier Paul Varin-Bernier, ce parc forme aujourd'hui l'écrin de la nouvelle médiathèque. Pastiche Renaissance matiné de faux Louis XIII, l'ancien château domine une ample pelouse ceinturée de puissantes masses d'arbres ponctuées d'essences rares.En marge de la composition principale, le Naveton alimente pièce d'eau et cascade de rocaille.Ouv.T.l.j. Gratuit.

2 . Dieue-sur-Meuse : parc du château de Montremy
Ouvert largement sur la Meuse et traversé par la Dieue, ce parc présente les caractéristiques des parcs pittoresques du début du XIXe s. : fabrique, essences, rares, points de vue variés ... Ouv. lun.12 juin visite guidée 15h.

3 . Géville : jardins de l’abbaye de Rangeval à Corniéville (aile est, 7, rue de l’Abbaye)
Malgré la disparition de l’église et d’une partie des bâtiments conventuels, cette abbaye des XVIIe et XVIIIe s. reste imposante. Répartis dans l’étroit vallon qui sert d’écrin au site, les jardins conservent un vivier, un petit parc, un ensemble de roses anciennes et surtout un vaste verger où “Belle Hortense” (cerise), “Couilles du Pape” (prune), “Fondante des bois” (poire), couachier de Buhl… constituent un patrimoine de 152 variétés en majorité régionales. Ouv. dim. 18 juin. Visite guidée à 15 h et 16 h 30. Gratuit. (chiens interdits).

4 . Haironville : parc de la Varenne
Dans ce parc paysager aux nombreuses essences botaniques, le promeneur peut choisir entre une image d'ensemble qui se compose comme un vaste tableau admiré depuis la terrasse du château (XVIe-XVIIIe s.), et la vision, fractionnée mais dynamique, qui se déroule à partir de la promenade de ceinture.Sur son parcours, plusieurs bancs de pierre invitent au repos, face à des vues choisies. Retiré derrière la seconde terrasse, le jardin intimiste d'Annie Pétin fait vibrer ses camaïeux de roses et de bleus. Ouv.de 10 h à 12 h et de 15 h à 18 h. T.l.j. du 1er juil. au 30 sept. Entrée payante. Visite guidée dim. 11 juin à 10 h.

5 . Ligny-en-Barrois : parc municipal de l'ancien château
Le parc a survécu au château de la famille de Luxembourg. Ses alignements de charmes, de frênes, de hêtres et de tilleuls, replantés à partir de 1985, donnent vigueur et rectitude aux perspectives qui aboutissent à l'Ornain. Ouv. T.l.j. Gratuit.

6 . Lisle-en-Rigault : parc de Jeand'Heurs
Ceint de 9 km de murs, le parc de l'ancienne abbaye des Prémontrés occupe le fond d'un vallon où serpente la Saulx. Il est devenu, grâce au maréchal Oudinot, l'un des plus beaux parcs à fabriques du Premier Empire.Ses percées et essences rares seront encore enrichies par les frères Bulher, paysagistes de la seconde moitié du XIXe s.On y rencontre des résineux exceptionnels tels le Thuyopsis dolabrata et le Torreya californica. Ouv.le dim. 4 juin à 15 h. Visite guidée. Payant (autres jours pour groupes sur R.D.V. au 03.29.71.31.77).

7 . Les Monthairons : parc du château du Petit-Monthairon
Sur ce site rigoureusement horizontal des bords de Meuse, chaque édifice et chaque arbre semblent posés comme autant d'objets sur une table.Cette platitude infiniment ouverte sur le paysage de la vallée appela au XVIIe s. la contemplation d'un ermite. La grande héronnière qui domine la clairière du fond du parc nomme encore les lieux.Ouv. T.l.j. sauf lun. de 10 h à 18 h, du 11 fév. au 1er janv. Gratuit. Hostellerie du château ouverte aux mêmes dates. Tél. 03.29.87.78.55.

8 . Nettancourt : parc de la Grange-aux-Champs
De son origine monastique, le domaine a gardé son nom et une prédilection pour la mise en valeur des eaux, qui se déclinent en bassins, carpières, ruisseau, étang… sur lesquels se greffent scènes ou fabriques, particulièrement nombreuses et pittoresques aux abords de la demeure. Ouv. dim.9 juillet, visite guidée à 15 h. Payant. Visite et goûter meusien toute l'année pour les groupes sur demande au 01.42.68.06.72.

9 . Rambluzin-Benoîte-Vaux : promenade du chemin de croix de Benoîte-Vaux
Une fontaine néo-gothique ceinte d'une haute charmille marque l'entrée du parc de cet important lieu de pèlerinage. Elevés à partir de 1891 parmi les grands arbres, quatorze monolithes de pierre d'Euville illustrent les stations du chemin de croix du Christ. Ouv. T.l.j. Gratuit.

10 . Rigny-la-Salle : parc de Malpierre
Ce parc porte les traces d'une succession de conceptions qui se sont échelonnées du XVIIe au XXe s. Avec les douves, les canaux, le remarquable pont à balustrade, c'est le XVIIIe s. qui imprègne encore le plus spectaculairement les lieux.Ouv. le dim. 2 juillet. Visite guidée à 10 h. Gratuit.

11 a . Saint-Mihiel : promenade des Capucins
Au XVIIIe siècle de nombreuses villes plantent des allées hors les murs qui permettent aux habitants de se promener à l'ombre et de jouir de belles vues sur la campagne.La promenade des Capucins épouse le relief d'une colline qui domine toits et clochers ; les vues sont aujourd'hui en partie bouchées par la végétation spontanée. Ouv. T.l.j. Gratuit

11 b . Jardin de l’hôtel de Rouÿn (10, rue du Gal.-Audéoud).
Côté cour : une élégante ordonnance classique ; côté jardin : un séjour intimiste où chaque plante est à sa place et attend son tour pour fleurir, sans que jamais l’artifice ne se fasse sentir. Ouv. T.l.j. du 1er au 16 juillet de 14 h à 19 h. Entrée 15 F.

12. Sampigny : jardin du clos Poincaré
Castel néo-Louis XIII, la résidence meusienne de Raymond Poincaré possède un jardin étagé qui domine la vallée de la Meuse. Près de l’habitation, la composition propose un ensemble de parterres réguliers bordés de buis ; plus bas, une seconde terrasse est ornée d’un vaste banc couvert. Un incroyable escalier en béton imitant des rondins permet d’accéder aux anciennes volières. Ouv. T.l.j. de 14 h à 18 h. Gratuit. Musée : 10 F.

13 . Saulmory-et-Villefranche : jardin de Claudine Santt (à Villefranche).
Ce parc propose une évocation de la villégiature d’un banquier durant la seconde moitié du XIXe s. Espace de réception autant que de promenade, le jardin reste celui d’un bourgeois dans sa campagne, avec pour seules extravagances, une glycine enroulée autour de la grille d’entrée et une aristoloche partie un jour à l’assaut d’un séquoïadendron. Ouv. sur R.D.V. au 03.29.80.93.58.

14 . Stainville : jardin de simples de l’abbaye de Jovilliers
Récemment aménagé dans une courette attenante au cloître, ce petit jardin, abrité des vents et des gelées, s’inspire des jardins médicinaux des abbayes. Ouv. le dim. 2 juillet de 14 h à 19 h. Entrée 10 F à partir de 15 ans. Marché de produits locaux, renseignements au 03.29.78.65.38.

15 a . Stenay : parc de la Citadelle
Ce grand parc bourgeois créé par R. Lallemand en 1877 doit son relief aux anciennes fortifications de la ville. Il recèle tous les éléments qui faisaient alors les qualités d’une composition pittoresque : grotte, cascade, pièce d’eau, essences choisies… Ouv. sam. 8 juillet. Visite guidée à 15 h. Gratuit.

15 b . Parc de la Forge
Traversé par l’ancien canal d’alimentation de la fonderie, ce parc a été planté pour un maître de forge épris de botanique, comme en témoignent encore la belle serre arrondie et plusieurs essences rares, parmi lesquelles un Ginkgo biloba, un tulipier de Virginie et des hêtres majestueux dont un à feuilles de fougère. Ouv. T.l.j. Gratuit.

16 . Thillombois : parc du château
Une longue prairie, agrémentée d’un petit ruisseau, tapisse le fond du vallon et forme une large perspective au milieu des bois. Dans ce grand parc soigneusement entretenu, une quarantaine de daims circulent librement. Ouv. les lun., mer., jeu. et ven. de mai à oct. de 14 h à 18 h, les dim. 7 et 14 mai, 23 juillet, 10 sept., 15 oct., les sam. 13 mai, 22 juillet, 9 sept. et 14 oct. En dehors de ces dates sur R.D.V. au 03.29.75.08.73. Payant. Lundi 12 juin, visite ornithologique guidée par Dominique Landragin à 16 h.

17. Verdun : jardins de l’évêché (Centre mondial de la Paix)
Compléments de l’élégante architecture classique de Robert de Cotte, ces jardins ont été tracés en 1724 sur une plate-forme dominant la ville et la vallée de la Meuse. En contre-bas des parterres de gazon ponctués de topiaires, une terrasse allongée conserve les traces du fruitier de l’évêque. Ouv. du 1er mai au 14 juin T.l.j. sauf lun. de 10 h à 13 h et de 14 h à 18h ; du 15 juin au 15 sept. T.l.j. de 9 h 30 à 19 h. Expositions. Renseignements au 03.29.86.55.00.

18 . Vigneulles-lès-Hattonchâtel :Jardin du château d’Hattonchâtel
Plantations en rideau, buis taillés, pièce d’eau ornent la terrasse du château d’où l’on jouit d’une ample vue sur la Woëvre. Une roseraie et un potager occupent le contrebas. Ouv. T.l.j. Payant.

19 . Ville-sur-Saulx : parc Gilles-de-Trèves
Remarquable par ses essences (tulipiers, hêtres pourpres, collection de seringats…) et son tracé où se coule la Saulx, ce vaste parc du XIXe s. réalise une mise en page très pittoresque de son château Renaissance (1555). La tempête a malheureusement emporté l’élégante passerelle suspendue et ses colonnes de fonte. Visite guidée sam. 10 juin à 15 h 30.

Tracées durant la première moitié du XVIIIe s., les terrasses dominent d'amples vues qui courent jusqu'à la Moselle.De beaux escaliers relient les différents niveaux ; l'un d'eux possède un élégant plan en X entre les chantournements desquels s'échappent plusieurs nappes d'eau alimentant un canal. Dans la partie basse, les jardins font place après 1818 à un parc pittoresque planté d'essences rares parmi lesquelles un magnifique hêtre à feuilles de fougère. Ouv. le dim. 11 juin. Visite guidée à 15 h.

2 . Basse-Rentgen : parc du domaine de Preiche

La glacière dissimulée par une maçonnerie faussement ruinée, les vraies douves médiévales intégrées dans la promenade, les essences botaniques (tulipier, cyprès chauve, hêtre pourpre…) appartiennent au répertoire pittoresque choisi par M. Milleret pour aménager son parc. Réalisé à partir de 1812, il sera enrichi dans la seconde moitié du XIXe s. par C. de Gargan qui y introduira notamment deux passerelles métalliques.Leurs garde-corps en branchages de fonte évoquent la maîtrise des métalliers lorrains. Ouv. de Pâques à la Toussaint tous les dim. Visites guidées à 15 h 30 et 16 h 30. Entrée 15F.

3 . Bitche : parc du Stadtweiher

Vaste parc urbain de 3 hectares qui constitue une vitrine de la sculpture contemporaine de plein air avec notamment des œuvres de Lovato, Laurent Amat, Pierre Tual… Ouv. T.l.j. Gratuit.

4 a . Charleville-sous-Bois : parc du château

Séparé du château et de la cour d'honneur par la R.D. 72, le potager conserve son plan traditionnel en croix ainsi qu'un vivier.Intimiste, le jardin d'ornement reste à l'échelle de la façade est ; il est dominé par le verger qui escalade le coteau en direction de la terrasse de l'église, d'où l'on jouit de vues étendues sur le paysage alentour.Ouv. sam. 24 et dim. 25 juin de 14 h à 19 h.

4 b . Parc de la Maison de convalescence

En pleine forêt, charmilles, buis taillés, massifs de fleurs composent un petit jardin à la française créé en 1911.A l'arrière du château, quatre ifs encadrent une pelouse qui domine plusieurs terrasses. Ouv. T.l.j. Gratuit.

5 . Courcelles-Chaussy : parc du château d'Urville

Le jardin médiéval au pied du pigeonnier a été créé par les élèves du lycée agricole. A remarquer aussi l'ensemble du site paysager autour du château. Ouv. T.l.j. de 14 h à 18 h.Visites pour groupes sur R.D.V. au 03.87.64.00.17.

6 . Florange : parc de Bétange

Ce parc domine un paysage où la cité industrielle s'insère entre champs et forêt. La famille de sidérurgistes qui le fit dessiner introduisit plusieurs ornements dus au savoir-faire des métalliers lorrains et notamment un élégant pavillon chinoisant dont les branchages de fonte surplombent une des pièces d'eau. Non loin d'elle s'élève la puissante stature d'un chêne bicentenaire. Ouv. dim. 2 juillet de 14 h 30 à 19 h. Visite guidée.

7 . Gorze : jardins du palais abbatial
Richement décoré de bas-reliefs inspirés par l’histoire de Médée, un escalier monumental relie la cour du palais abbatial aux parterres d’une vaste terrasse. Un second niveau s’orne d’un théâtre d’eau aujourd’hui asséché. Les huit niches qui le décorent abritent des statues de nymphes et de fleuves sculptés dans la pierre jaune. La perspective est aujourd’hui malheureusement réduite par la présence d’un établissement hospitalier de construction récente. Ouv. T.l.j. Gratuit.

8 . Gravelotte : jardin de Mme Harmand (49, rue de Metz).
Ce jeune jardin créé par une pépinèriste spécialisée dans les plantes vivaces propose six carrés de couleur cernés d’un plessé d’osier, dont l’un d’eux emprisonne un rare parterre de fleurs noires. Ouv. sur R.D.V. préalable au 03.87.60.83.04.

9 . Hayes : jardin du château
La façade sur jardin de cette demeure du XVIIe siècle donne sur quatre parterres ceints de buis ; l’axe de symétrie de la composition se prolonge jusqu’au balcon en fer forgé d’un belvédère en hémicycle. Dominant cette perspective, un berceau de charmille dispense une ombre bienfaisante. A remarquer, un des rares chataîgniers de Lorraine dont la croissance est favorisée par un sous-sol sablonneux. Ouv. ven. 14 juillet. Visite guidée à 15 h très précises.

10 . Landonvillers : parc du château
Ce rêve de l’historicisme a été dessiné principalement par Bodo Ebhardt, l’architecte chargé de restaurer le château du Haut-Kœnigsbourg. L’habitation dresse une silhouette extravagante au bout d’une vaste pelouse cernée de grands arbres. Face aux tours, la ramure d’un hêtre pourpre protège les vestiges d’un pavillon Art Nouveau. Le potager conserve encore deux serres à la rare charpente ogivale. Ouv. le dim. 11 juin de 14 h à 19 h. Gratuit. Visite guidée du château à 15 h et 17 h. Entrée 20 F, 10 F pour les enfants.

11 . Manom : parc de La Grange
Retracé au retour de l’émigration, le parc a gardé l’essentiel de ses caractéristiques paysagères. A l’arrière du château une vaste pelouse sert de faire-valoir aux essences rares, tandis qu’à l’avant une longue allée de tilleuls débouche sur un étang, dont l’île porte un petit temple néo-grec entouré de cyprès chauves. Aux confins du parc, le pavillon d’Alger domine prés et vergers. Ouv. toute l’année les sam., dim. et fêtes de 14 h 30 à 18 h 30. T.l.j. en juil. et août. Payant.

12 a . Metz : jardin botanique
Les allées qui serpentent dans le parc contournent des pièces d’eau, des plates-bandes fleuries au pied d’arbres magnifiques représentant 130 espèces ou variétés (Gingko biloba, hêtre pleureur, cyprès chauve, séquoïadendron,…). 80 variétés de roses et les grandes serres conçues en 1861 par le ferronnier Pantz complètent cette collection. Ouv. T. l. j. Gratuit.

12 b . Promenade de l’Esplanade
Située entre l’ancien arsenal et le palais de justice, l’Esplanade ménage une grande respiration urbaine qui s’achève en balcon sur les paysages de la vallée de la Moselle. A l’origine, cet espace servait de champ de Mars aux casernes voisines. Devenue promenade publique dès le XVIIIe siècle, elle a reçu un décor classique, orné en son centre d’un bassin circulaire éclaboussé de jets d’eau. A l’écart des parterres symétriques et des massifs abondamment fleuris, le cloître de Saint-Pierre-aux-Nonnains et le jardin Boufflers offrent une plus grande intimité. Ouv. T.l.j. Gratuit.

12 c . Jardin du cloître Saint-Clément (Hôtel de Région)
Le jardin de ce cloître date de la fin du XVIIe siècle. Il reprend la disposition héritée du Moyen-Age : deux allées en croix séparent des parterres de gazon cernés de buis. Au centre, se dresse un puits monumental couvert d’un dais carré que soutiennent les statues de la Force, la Prudence, la Tempérance et la Justice. Visites sur R.D.V. au 03.87.33.60.00. Gratuit.

13 . Nilvange : parc municipal
Privilège des hauts cadres de la métallurgie lorraine, ce type de parc constitue une catégorie spécifique du nord de la Moselle. Le choix d’un site dominant la vallée, le recours important aux résineux, l’aménagement d’un petit vallon et de ses franchissements, relèvent de l’art du parc paysager. En revanche, l’emploi des produits issus des hauts-fourneaux (mâchefer) pour constituer des ouvrages de rocaille est caractéristique du bassin minier. Ouv. T.l.j. Gratuit.

14 . Pange : parc du château
Austère bâtiment du XVIIIe siècle, le château appelait des jardins à la française prolongeant son ordonnance symétrique dans la vallée de la Nied. De part et d’autre d’une allée de tilleuls, un parc romantique, réaménagé il y a une cinquantaine d’années, a été orné d’essences variées. De la terrasse arrière du château, baignée par la rivière, la vue se déploie sur un ample paysage. De l’autre côté de la route subsiste l’ancien potager. Ouv. du 1er mai au 30 oct. de 14 h. à 19 h. Gratuit.

15 a . Rodemack : parc Jeanne-de-Gargan
Ce parc a été aménagé à partir de 1919, à l’intérieur des murailles du château qui domine le bourg, par la famille de Gargan, dont plusieurs membres étaient férus de botanique. Animé de multiples ressauts, terrasses, passages et escaliers, le lieu épouse les complexités des fortifications, alliant le romantisme des ruines à l’austérité des résineux, alternant l’intimité du jardin de buis avec les vues amples sur la vieille ville et la campagne alentour. Ouv. de juin à septembre. Visite guidée les sam. à 15 h 30 et les dim. à 15 h 30 et 17 h. (T.l.j. sur réservation pour les groupes de quinze personnes). S’adresser à l’office du Tourisme. Tél. 03.82.51.25.50. Entrée 18 F., enfants 12 F.

15 b . Jardin médiéval
Créé en 1990 sur une étroite parcelle enchâssée entre le rempart et le ruisseau des Oiseaux, ce petit jardin évoque l’“hortus conclusus” des châteaux forts. Outre les roses connues du monde médiéval, les carreaux accueillent simples et plantes vivrières ; contre la muraille se chauffent quelques espaliers et la vigne vient épouser les courbes du berceau. Visite guidée de la cité et du jardin de juin à septembre les sam. à 15 h 30 et les dim. à 15 h 30 et 17 h. (T.l.j. sur réservation pour les groupes de quinze personnes). S’adresser à l’office du Tourisme - Tél. 03.82.51.25.50. Fête médiévale les 1er et 2 juillet. Spectacle théâtral “Le Roland furieux” les 1, 2, 3 et 4 juin à partir de 22 h. Animations de rue les dim. après-midi du 9 juillet au 16 sept.

16 a. Sarreguemines : parc municipal
Aménagé à partir de 1890 sur le site tourmenté d’une ancienne carrière, ce parc reste représentatif du style paysager qui met à profit les mouvements du terrain et privilégie la variété des essences. Ouv. T.l.j. Entrée gratuite.

16 b. Jardin des Ruines
Aménagé à la place des anciens bâtiments d’une unité de production de la faïencerie et à proximité du Musée des Techniques Faïencières, ce jardin contemporain met en scène des ruines industrielles parmi lesquelles s’insèrent un théâtre de verdure et un jardin des plantes ayant inspiré les artistes de l’Art Nouveau. Ouv. T.l.j. sauf mar. jusqu’au 30 juin. T.l.j. à partir du premier juillet. Entrée gratuite.

1 b . Jardin botanique de Gondremer
Le hameau de Vuillaume-Fontaine cache au sein de ses bois un ensemble de 4 000 plantes différentes, provenant de diverses régions montagneuses du monde, dont d’exceptionnelles collections de rhododendrons, d’azalées et d’érables japonais classées Collection Nationale par le C.C.V.S. Ouv. dim. 14 mai de 14 h 30 à 18 h 30 et tous les après-midi du 27 mai au 6 juin de 14 h 30 à 18 h 30. Entrée 40 F. Gratuit pour les moins de 15 ans. En dehors de ces dates, visites sur R.D.V. au 03.29.65.91.96.

2 . Bains-les-Bains : parc thermal
Le site du parc emprunte une petite vallée, où coule un ruisseau qui s’apprivoise en étang ou se déverse en cascades. Sur le trajet, le golf-miniature et la buvette attendent le curiste en s’abîmant dans la désuétude. Ouv. T.l.j. Gratuit.

3 . Ban-de-Sapt : jardins de Callunes
Créé en 1993 dans le site chahuté d’une ancienne carrière dominant un vaste paysage montagneux, ce parc de 3 ha a été dessiné par le paysagiste Jacques Couturieux qui a mis en scène un riche ensemble de plantes de terres acides comprenant rhododendrons, azalées, vivaces et plus de 250 variétés de bruyères. Ouv. T.l.j. du 21 mars au 30 avril de 14 h à 17 h 30, du 1er mai au 20 juin. de 10 h à 12 h et de 14 h à 19 h, du 21 juin au 20 sept. de 10 h à 19 h et du 21 sept. au 11 nov. de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h. Entrée 30 F, tarif réduit 25 F, (10 F pour les enfants de 7 à 16 ans). Visite guidée 35 F sur réservation au 03.29.58.94.94.

4 . Bruyères : arboretum du col du Haut-Jacques
Choisi pour édifier un monument à la gloire de la Résistance vosgienne, le col du Haut-Jacques a été parallèlement retenu par l’Office national des Forêts pour y implanter un arboretum représentatif des espèces du massif vosgien ou acclimatées avec succès. Initialement limitée aux arbres, la collection s’est étendue aux plantes herbacées d’origine locale ou affectionnant les sols acides. Ouv. T.l.j. Gratuit.

5 . Contrexéville : parc thermal
Même s’il ne subsiste qu’un petit kiosque de l’ensemble architectural de fer et de verre qui donnait sur le parc au début du siècle, le promenoir couvert reconstruit entre les deux guerres, les larges allées ombragées et les fauteuils d’osier refaits selon le modèle d’origine gardent la saveur surannée de l’âge d’or du thermalisme vosgien. Ouv. T.l.j. Gratuit.

6 . Denipaire : jardin de M. et Mme Villeroy de Galhau
Jouxtant une ferme vosgienne du XVIIIe s., ce jardin a été commencé vers 1985 et constamment enrichi depuis. On y admirera une collection d’hydrangéas, de rosiers anciens, d’arbres et d’arbustes de terre de bruyère. Près du ruisseau, une zone humide a permis la création d’un original jardin de marécage. Ouv. dim. 25 juin sur R.D.V. préalable au 03.83.32.16.03 ou au 03.29.58.96.50. Gratuit.

7 a . Épinal : parc du château
Aménagé en 1809 pour M. Doublat, le parc s’étend sur l’ensemble des vestiges du château fort. A la mise en scène des ruines, chère à la sensibilité préromantique, s’ajoute l’étendue des vues. A voir également le jardin d’esprit médiéval. Ouv. T.l.j. Gratuit.

7 b . Jardin de la Maison romaine (bibliothèque)
Etabli sur une terrasse qui domine le cours de la Moselle, ce jardin sert de cadre à un pastiche de villa romaine datant de l’éclectique fin du XIXe s. Les portiques et les roses dans leurs parterres réguliers invitent à la lecture de romans immémoriaux. A poursuivre, s’il pleut, dans les rotondes des jardins d’hiver. Ouv. T.l.j. Gratuit. Jardins d’hiver ouv. aux horaires de la bibliothèque.

8 . Granges-sur-Vologne : jardin de Berchigranges
Situé à 700 m d’altitude, Berchigranges est un jardin de moyenne montagne par excellence. Dans l’esprit du “jardin de cottage”, plusieurs milliers de variétés de plantes venues de l’Himalaya, d’Irlande, ou d’Amérique du Nord y ont trouvé leur place. Cet écrin unique par son environnement et son aménagement est parcouru par de nombreux ruissseaux. On y cultive des collections de primevères, narcisses, rosiers et plantes vivaces anciennes ainsi qu’ alpines. Ouv. T.l.j. de 14 h 30 à 19 h du 1er avril au 1er nov. de 10 h à 19 h en juillet, août et septembre. Visites guidées pour les groupes sur réservation au 03.29.51.47.19. Entrée 35 F, 20 F pour les enfants de moins de 12 ans.

9 . Hennezel : arboretum de la Hutte
Cette collection a été créée vers 1874 sur un coteau sauvage dominant la vallée de l’Ourche par Alfred Irrois, maître de forge. Il comporte de remarquables sujets de Thuyopsis dolabrata, Liriodendron tulipifera, Quercus rubra, Sequoïadendron gigantea… Ouv. T.l.J. Gratuit.

10 . Martigny-les-Bains : parc thermal
Florissant au début du siècle, l’établissement thermal est aujourd’hui abandonné. De son époque de gloire, le parc conserve un remarquable pavillon des sources entièrement vitré et plusieurs fabriques pour lesquelles le ciment armé se moule en branchages rustiques. Ouv. T.l.j. Gratuit.

11 . Morizécourt : parc du prieuré de Deuilly
Précédé d’une porte monumentale, puis d’un escalier ponctué de pots à feu, le prieuré a conservé son verger et un ensemble hydraulique comprenant gayoir, lavoir et viviers. La façade arrière donne sur les charmilles d’un petit jardin régulier dont la toile de fond se déchire sur le lointain. Ouv. sam. 24 et dim. 25 juin de 14 h à 18 h. Entrée 10 F, enfants 5 F.

12 . Plombières-les-Bains : parc impérial
Réalisé entre 1856 et 1858, dessiné partiellement par Napoléon III qui venait prendre les eaux de Plombières avec l’impératrice, ce parc présente une grande richesse botanique. Fait remarquable, la plupart des arbres sont datés et identifiés. S’ajoute au charme des lieux le souvenir d’illustres promeneurs tels que Guy de Maupassant ou Alexandre Dumas. Ouv. T.l.j. Gratuit.

13 . Roville-aux-Chênes : école d’horticulture
Outre ses espaces de production (serres et pépinière), l’école gère plusieurs parcs paysagers, celui du Centre de Formation des Apprentis et celui du Centre de Formation des Adultes qui longe les bords de la Mortagne. Gratuit. Visite guidée pour les groupes sur R.D.V. au 03.29.65.11.04.

14 . Sandaucourt : jardin du château
Du tracé d’origine, Sandaucourt conserve quatre carrés délimités par une croisée d’allées ; un bassin circulaire marque le centre de la composition encore bordée sur deux côtés par les restes d’une charmille plantée au XVIIIe s. Ouv. les sam. et les dim. de juin de 14 h à 19 h.

15 . Senones : parc de l’ancienne abbaye
De hautes fenêtres moulurées avec élégance par le XVIIIe s. s’ouvrent sur un parc dessiné au XIXe s. pour un industriel du textile. La composition pittoresque, plantée d’espèces variées, s’orne d’une pièce d’eau et d’une cascade. Vers le fond du parc, un hexagone à arcades évoque un temple en ruine ; il soutenait autrefois le colombier de l’abbaye. Ouv. tous les jours de 10 h à 20 h. Gratuit. Voir aussi à Senones, le jardin du cloître et l’escalier des terrasses de la princesse Charlotte de Salm orné d’une élégante rampe en fer forgé.

16 . Vittel : parc thermal
Soixante-dix hectares de pelouses et de plantations d’une grande diversité botanique enserrent pavillons, chalets, exèdre à musique qui témoignent toujours des grandes heures du thermalisme des années 1900-1930. Ouv. T.l.j. Gratuit.

17 . Xertigny : parc des Brasseurs
Construit en 1888 pour Victor Simon Champion, un imposant château de pierre blanche domine terrasses et escaliers ornés de massifs de rhododendrons. Le parc paysager se prolonge dans les bois Beaudoin (38 ha.) dont les étangs fournissaient la glace nécessaire à la brasserie “La Lorraine”, active jusqu’en 1966. Parmi les essences rares, on remarquera tout particulièrement un hêtre pourpre pleureur, un virgilier et deux Thuyopsis dolabrata. Ouv. T.l.j. Gratuit.

18 . Xonrupt-Longemer : jardin d’altitude du Haut-Chitelet
Le plus riche jardin alpin de France se cache à 1 228 m d’altitude, en bordure de la route des Crêtes, à proximité du col de la Schlucht. Sur 1 hectare et demi, les plantes de la plupart des montagnes du globe se trouvent regroupées par affinité géographique et écologique. Une place particulière est réservée à la flore des Vosges. Le reste du jardin est occupé par une hêtraie d’altitude et par une tourbière. Ouv. T.l.j. du 1er au 30 juin de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h., du 1er juillet au 31 août de 10 h à 18 h., du 1er au 30 septembre de 10 h à 12 h. et de 14 h à 17 h 30. Visite guidée sur R.D.V. au 03.29.63.31.46. Payant.