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L'eau et la rivière Allier

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La flore des bords de l'Allier

 

Nous avons découvert l'Allier au niveau de l'hippodrome. En amont, elle coule entre deux levées faites pas Mr Régemortes pour la construction du pont. Les arbres qui y poussent ne sont pas les mêmes qu'en aval (platanes).


La rivière transporte, creuse, dépose, change de trajet et de niveau. Le courant est plus fort sur la rive qui creuse. Les arbres aident à fixer les rives. Les activités humaines font baisser le niveau de l'eau. Les deux espèces principales sont les SAULES et les PEUPLIERS NOIRS.
Ils augmentent en taille quand on s'éloigne de la rivière. Ils sont plus serrées au bord de l'eau et poussent souvent en ligne un peu plus loin du lit mineur et jusqu'aux terrasses. On trouve aussi le frêne, quelques noyers, le robinier (faux acacia), l'églantier, le prunellier, la ronce, l'osier, le sureau.
Comme herbacées on remarque la bardane, l'oseille sauvage, le brouillon blanc, la carotte sauvage, le cardère, le plantain, la grande berce (ombelle), le mille pertuis, l'armoise, l'ortie  mais pas juste au bord de l'eau. Sur les bras morts, on peut trouver des roseaux. La moitié des plantes sont différentes de celles qu'on peut trouver le long des chemins ou dans les haies. Sur les vieux saules, le gui parasite s'installe parfois. Il y a de nombreux arbres morts couchés sur les plages et les îles.


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